Le parti quatre piliers a un réel souci de la préservation de l’environnement, de la pureté de l’air que nous respirons, de la qualité de l’eau que nous buvons, de notre nourriture, de protection de la faune et de la flore ainsi que de nos paysages.
Nous avons tous des enfants que nous aimons et nous voulons le meilleur pour eux…Nous voulons leur laisser en héritage un pays ou il fait bon vivre, de haute qualité environnementale ou ils pourront fonder une famille et aller au bout de leur leur potentiel s’ils s’en donnent la peine.
Les médias relayent en boucle les messages de l’écologie verte.
Ces messages sont clairement hostiles à l’économie libre et prônent une décroissance punitive.
Ces discours sont anxiogènes et culpabilisants, ils suggèrent que la solution aux problèmes que posent la protection de l’environnement passent par une économie planifiée et le sacrifice d’une partie de nos libertés.
C’est une écologie paternaliste : Elle dit aux gens comment se déplacer, comment consommer, quoi acheter, ou acheter, comment se chauffer, quel logement habiter, quelles vacances choisir etc…
Elle prétend que nous devons changer nos comportement, nos habitudes, nos pensées…Bref, qu’il faut « changer » l’homme.
L’écologie verte est moralisatrice et entend nous imposer une baisse substantielle de notre prospérité au nom d’un intérêt supérieur….
Nous au parti quatre piliers, nous prônons une écologie bleue.
Qu'est ce que l'écologie bleue ?
Pour bien saisir le type de protection de l’environnement prôné par Quatre Piliers, voyons ce que donnent nos actions concrètes avec le collectif de l’arbre :
Le collectif de l’arbre est une initiative qui vise à recréer le lien entre l’homme et la nature en promouvant une intégration harmonieuse du bâti dans un environnement préservé, en concertation avec les habitants.
Les propositions du collectif de l’arbre réunies dans la charte de l’arbre visent à maximiser la qualité de vie des habitants des villes et villages Français. Ces propositions synthétisent de nombreux travaux de recherche reconnus internationalement.
Lyon, Bordeaux, Amboise, Quebec, Genève, Bruxelles…De nombreuses villes occidentales rivalisent d’inventivité pour arriver à un équilibre idéal entre bâti et canopée urbaine : La cible désignée par la recherche suggère qu’ une canopée urbaine qui couvre 40% de la surface du périmètre d’urbanisation maximise le bien être de la population.
La charte de l’arbre permet, pour un cout modéré, de fixer du carbone, de lutter concrètement contre la pollution, d’améliorer notablement la beauté de nos villes tout en recréant le lien indispensable qui nous lie à la nature.
Il s’agit d’une écologie durable car les villes qui ont expérimenté ces pratiques ne souhaitent pas revenir en arrière…Les propriétaires s’y retrouvent car leurs biens sont valorisés
Le site internet des villes qui appliquent la charte de l’arbre proposent aux habitants une carte de l’inventaire des arbres de la ville mise à jour en temps réel.
Le prix des biens immobiliers est corrélé à la présence de beaux arbres…Plus la couverture végétale est importante, plus le bien est valorisé.
C’est une protection de l’environnement qui respecte les droits individuels des citoyens, qui permet la prospérité des classes moyennes et populaires et qui mise sur l’initiative individuelle, l’incitation, le développement économique et l’innovation pour trouver des solutions aux défis environnementaux.
C’est une société plus fraternelle, en harmonie avec la biodiversité et les animaux.
L’économie libre n’est pas un problème pour notre planète…Ce sont les pays qui sont le plus libres économiquement qui préservent le mieux leur environnement et offrent les meilleures conditions de vie à leurs citoyens, toutes les études internationales le démontrent.
Le message que nous voulons vraiment diffuser, c’est qu’il est possible d’avoir une écologie optimiste, qui respecte la nature de l’homme et la prospérité. Notre planète nous survivra, c’est l’humanité qui est en danger et doit trouver des modes de développement plus durables.
Nos propositions :
1) Interdiction des pratiques de chasse les plus cruelles telles que la chasse à la glue ou la chasse à courre
2) Organisation de référendums locaux sur les autres pratiques de chasse, l’étendue du domaine public réservé à la chasse, la saison de chasse, mais aussi sur certaines pratiques locales comme la corrida
3) Interdire l’utilisation des animaux pour les tests cosmétiques et industriels, les limiter pour l’expérimentation médicale en fonction des alternatives possibles
4) Ré-évaluer les pratiques et process des abattoirs en liaison avec cette industrie, des observateurs et les associations s’élevant contre les pratiques abusives
5) Travailler sur un vrai statut de l’animal assurant sa dignité, la limitation des abandons et entrainant un durcissement pénal des atteintes physiques aux animaux
6) Fermer certaines routes la nuit en milieu sauvage afin de permettre la circulation des espèces
7) Mener, à l’initiative des collectivités locales et des associations, des campagnes massives de ramassage des plastiques et de reboisement
8) Investir dans des unités de capture de CO2
9) Ne pas fermer de centrales nucléaires et investir dans leur maintenance
10) Favoriser et inclure dans les futurs plans d’investissement public privé le développement du solaire, de la géothermie, de l’hydraulique, de l’hydrogene, de la biomasse
11) Inclure dans les normes d’urbanisme des obligations plus ambitieuses sur la végétalisation des batiments, l’installation de panneaux solaires, et les constructions en bois.
12) Consacrer dans les futurs plans d’investissement les 15 milliards dont nous avons besoin pour l’efficience énergétique des batiments publics vs 7 dans l’actuel plan)
13) Créer de nouveaux parc nationaux et régionaux et mieux aménager les existants pour inciter les francais à mieux connaitre leur patrimoine naturel
14) Y accélérer la réintroduction d’espèces en voie de disparition et y développer un écotourisme raisonnable
15) Développer les permacultures dans tous les plans d’urbanismes
16) Inciter, sans imposer, une réduction de la consommation de viande, à commencer par les cantines et les restaurants d’entreprise en fixant un seuil maximal.
17) Faire voter de nouvelles normes sur le packaging et les emballages
18) Réduire la TVA sur les produits en vrac pour réduire les déchets d’emballage.
19) Investir sur ls technologies fondamentales disruptives : fusion, hydrogene, capture de CO2.
